Chaque soir, Liora ravivait le gerbe dans l’âtre rondelette au noyau de son manufacture. Elle y jetait les citations de cuivre en silence, laissant les flammes danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tradition. C’était une respiration lente, une manie parvenue d’un geste familial répété incessamment. Les morceaux, https://johnathanbmrvx.blogofoto.com/65401251/les-lignes-effacés