Dans l’enceinte subtilement hermétique du centre d’appels, les détenteurs continuaient à répondre aux sollicitations sans identités, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre accaparement extrême et paupérisation diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels à travers une interface adaptative, ajustée à son profil psychique. Aucun contact https://johnathantyaaz.slypage.com/34540227/le-foyer-d-appels-des-disparus