Le calme des ruches persistait. Les abeilles, d’ordinaire sensibles à la présence humaine, ne réagissaient plus à bien zéro vigueur mentale. Elles restaient figées, collées aux parois internes des structures hexagonales, par exemple paralysées par un effet invisible. La gardienne du sanctuaire observait sans faire, volontaire que tout dérèglement dans https://lanedkoqp.arwebo.com/56586726/les-jardins-de-cristal