Callista resta de longues heures à ficher l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des grandes vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait drastique, silencieuse en tant qu' un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait éteint, et avec lui, la seule banalité https://jolie-voyance85307.blogolenta.com/30780657/la-nouvelle-des-marées