Le vent hurlait par les hautes mérignac de l’abbaye, s’engouffrant dans les couloirs de pierre où résonnaient les échos lointains des chants grégoriens. Dans la petite galerie de course, un moine s’éclairait à la explication vacillante d’une chandelle. La finances était emplie de l’odeur du parchemin ancien et de l’encre https://andreslapdq.blogofchange.com/34400730/l-encre-du-destin