Le manoir se dressait, obligeant, en plein milieu des vestiges d’un parc à l’abandon. Entre les arbres tordus par le vent et les routes envahies par les ronces, une structure de cristal et métallisé résistait encore au époques : une serre oubliée, discrète en arrière un mur de végétation sauvage. https://reidnhuoy.daneblogger.com/32880877/le-jardin-des-ombrages-statiques