La nuit s’étirait marqué par une voûte céleste régulier, enveloppant Sybille dans un silence significatif. La lune, d’un brillance surnaturelle, s’accrochait aux nuages épars de la même façon qu'un phare abandonné dans l’infini. Elle avançait via les ruelles désertes, guidée par une loi d'attraction qu’elle ne comprenait toujours pas sérieusement. https://beauwktbi.myparisblog.com/33515309/les-marées-du-destin-selon-voyance-olivier